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 Contre temps à dix heures et trente-six minutes.

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MessageSujet: Contre temps à dix heures et trente-six minutes.   Contre temps à dix heures et trente-six minutes. EmptyDim 16 Sep - 9:33



Munefusa Saiizou

« Identité du Shinobi »

♣ Âge : 23 ans
♣ Sexe : Feminin.
♣ Village ou Organisation : Suna
♣ Rang désiré : Anbu.
♣ Affinités : Chakra médical | Shoton | Katon
♣ Nindô : " Le plus grand des ennemis, c'est soit-même. Par ce que qu'on le veuilles ou non, c'est de son propre sein que la faiblesse viendra en premier."


« La vérité, toute la vérité. »

Ce qu'il fallait savoir, avec une fille comme Munefusa c'est que les apparences n'étaient pas toujours trompeuses et qu'il aurait été un véritable scandale que de chercher un sens différent à sa personne que celui qu'elle donnait d'ordinaire. Bien sur il y avais les haut et les bas, parfois elle n'était pas toujours compréhensible, mais c'était à la vérité une jeune femme des plus simple. Le genre qu'on ne croisais plus. Ça donnait un air intemporel à ses dire ou ses façon d'agir et franchement : les gens aimaient ça. Normal en fait. Munefusa n'était pas la plus heureuse des petites filles, mais elle n'était pas la plus triste, pas la plus pauvre et pas la plus riche. Quoique, c'est peu être ça le truc finalement.

Ce qui me frappa la première fois que je posait mes yeux sur elle c'était encore cette impression de sérénité absolue qui en échappait. Elle était calme. Par immobile, pas inactive ; mais calme. Comme l'eau qui dors. Et c'était fantastique par ce que ça se ressentait dans tout ce qu'elle entreprenait. Il y avait un genre de flegme doucereux qui donnait à qui observait ou subissait la sensation d'être parfaitement en sécurité. Même lorsque ce n'était pas le cas. Ses grand yeux d'un bleu très clair s'illuminaient sans cesse de tout un tas d'émotion sans jamais entaché cette profonde sérénité de ses actes. Ceux qui voient de travers pensent , c'est notoire, qu'elle est probablement lente, inapte au combat, mais c'est une absurdité car à la vérité elle est , fait parlant, bien plus vive que la plus part des autres. Il y as comme un instinct enfouis en elle.

Entre le moment ou je l'ai vue et celui ou elle m'as adressé la parole pour la première fois il n'as pas du s’écouler plus de quelques secondes mais elle avait cette capacité innée d'avoir une longueur d'avance sur tout. Avant même que je n'ouvre la bouche elle savait ce que j'allais demandé. J'en ai eu la certitude quand je l'ai vus sourire. Pas un sourire amusé, ni même moqueur. C'était un sourire neutre et parfaitement indépendant de toute signification. Elle souriait, c'était tout. C'était déjà bien par ce qu'à l'époque je n'était pas près à voir le reste. Il ne m'as pas fallut longtemps pour déterminer le fond de son être. Douceur. Munefusa Saiizou était douceur, et c'était plus que beaucoup. Un peu comme si tout ce qui c'était bâti dans le sang n'avait jamais eu le moindre impact sur sa vie à elle. J'apprendrais plus tard, que c'était effectivement le cas.

Par douceur je n'entend pas le fait qu'elle était incapable de colère, bien au contraire : elle y était plus disposée que n'importe qui d'autre à ma connaissance. Pas qu'elle soit colérique, pardon si je m'exprime mal. Elle met ce qu'il faut quand il faut et si elle dois s'énerver et bien elle le fait sans cérémonie. Mais même dans ses plus franches colère elle garde cette sorte de bonté rayonnante. Comme si elle n'en voulait pas vraiment au monde, aux gens. Comme si elle n'était hors d'elle que par ce que c'était ce que les conventions sociales exigeaient d'elle dans ce genre de circonstances. Elle ne crie pas forcément, elle n'est pas plus moralisatrice qu'un autre mais elle explique toujours ce qui la taraude, ce qui lui déplaît. Elle dit. Tout.

Il y a aussi sa joie. Par ce que ça aussi ça m'as immédiatement frappé. Un truc étonnant tellement il est présent. Munefusa est heureuse. Elle est heureuse par ce que que ce matin la il fait beau, elle est heureuse par ce que quelqu'un lui à souris, elle est heureuse par ce qu'elle vous parle. Par ce que vous la remerciez...elle est heureuse de vivre en fait, heureuse d'être la et d'être qui elle est. D'ailleurs, c'est ce qu'elle m'as dit un jour. Un jour ou il pleuvait. «  Je suis ce que je suis et pas ce que les autres voudrait que je sois, c'est une victoire en soit, non ? » et elle avait raison dans le fond. Par ce qu'il n'y avait pas beaucoup de personnes qui puissent se targuer d'en être au même stade. Que la société n'avait pas changé, modelé à sa sauce.

Si les chiens de font pas des chats, il est clair que dieu n'as pas créé Munefusa dans le même tas de boue que le reste de l'humanité. Non elle n'est pas faite de glaise. Elle est tout aussi malléable mais tellement plus solide que ses statuettes. Munefusa est le genre de femme dont l'apparence ne laisse absolument pas deviner les ressources. Mune à une mentalité faite de diamant. Elle est bien plus solide que la plus part des gens. Je ne parle pas seulement de son incroyable capacité de résistance à la douleur mais de sa compétence inouïe à affronter l'imprévisible. Même la surprise n'as pas sur elle une influence néfaste. Elle observe, elle analyse, elle gère. Munefusa est ce genre de personne à l'ouverture d'esprit spectaculaire , doté d'une certaine dose de sagesse.
Déterminée, un peu bornée mais toujours attachante et justifiable. inébranlable dans ses conviction capable de mourir pour une cause mais plus à même et disposée à vivre pour celle-ci." Mourir pour des idée c'est bien, vivre pour les accomplir c'est déjà mieux."

Parfois, elle était triste. C'est dans ces moments là que l'on se rendait compte d'à quel point elle avait conscience de cette putain de réalité, qui faisait que tout le monde n'était pas aussi heureux qu'elle même. Elle était triste par ce que quelqu'un l'était, par ce qu'elle avait tué quelqu'un, par ce qu'elle avait perdu quelqu'un, ou par ce qu'elle se sentait d'humeur à pleurer. C'était comme ça , personne n'y pouvais rien et elle, elle ne voulait pas changer.

Déroutante. À l'antipode de sa ferme conscience de la réalité Munefusa se montrait toujours d'une candeur enfantine, la naïveté rose de la fillette qui à grandi protégée de tout. Qui ne sais pas ce qu'il se passe. C'était faux bien sur. Cette candeur n'était qu'un moyen comme un autre de se protéger contre la dite réalité. En se comportant ainsi, elle avait la force de continuer à être heureuse. En dehors de quoi, il y'as avait son intelligence non négligeable et son immense capacité à aimer. Aimer. C'était ce qu'elle préférait. Et elle se montrait capable de donner à n'importe qui. Même aux pire. Dans le fond c'est peu être ça le problème avec elle. C'est qu'elle aime autant son voisin que le chef du front adverse. Les amis comme les adversaires. Il n'y à pour elle n'y bien ni mal. Seulement ce que la morale pré-indique ou non. Elle préfère la diplomatie. Mais elle se bat mieux que bien des hommes. Elle pardonne. « Je leur pardonne. Peu importe le mal qu'on peu faire, je pardonne. Par ce que c'est plus facile d'y penser une fois qu'on arrive à voir le bien. » elle pardonnais, peu être à tord d'ailleurs et elle le reconnaissait. Mais elle assumait toujours l'entière responsabilité de ses actes.

Souvent, souvent elle riais. Elle adorais rire. Ça éclairait tout. Et son rire profond et communicateur était comme un phare dans le noir. La preuve que plus tard tout irais bien. Elle pouvais rire, par ce qu'elle voyait toujours du bon quelque part. Elle tendait la main facilement à qui en avait besoin. Qu'il le sache ou non d'ailleurs, elle était la. Si sa confiance se méritait, son aide , elle, était gratuite. Elle était légère et ses éclats semblait crier au monde qu'elle était un papillon, un ange, une créature céleste et que rien de ce qui était laid ne pouvais l'atteindre.
Journal d'un enfant des plaines, le Lundi premier novembre.


« Physique »

La première fois qu’il l’avait croisée c’était au détour d’un couloir des bâtiments administratifs Suna-jin. Immédiatement il avait été frappé par la blancheur de ses cheveux. Ce n’était pas coutumier et surtout, ça lui donnait un air absolument radieux. Le soleil frappait dans le sable rouge avant de se refléter dans sa chevelure, la couronnant d’une auréole, signe presque divin qui lui donnait l’air d’un ange. Alors il avait tenté de regarder qui elle était mais peine perdu. Il avait été happé par ses grand yeux clairs. D’un bleu saisissant. Quelque chose de vertigineux, tellement limpide à la vérité qu’on y plongeait comme dans la mer pour ne plus jamais en sortir. Emporté au large. L’iris d’azur a défier la mer des caraïbes et cerclé d’un bleu outremer, plus foncé dont quelques rares taches parsèment en toute beauté la clarté limpide des eaux paradisiaques, ombragées par des longs cils. Son regard l’avait fasciné et il avait fini par comprendre pourquoi. Ce n’était pas tant la beauté foudroyante de celui-ci, bien que ça ne soit pas négligeable. Néanmoins, l’effet était appuyé, magnifié par ce qui émanait d’elle. Un calme, doux plat. Sécurisant. Ses yeux étaient un lac que rien ne troublait jamais et pourtant bouleversé par un millier d’émotions qui faisaient vagues.

La seconde fois qu’il l’avait rencontrée, ce n’était pas au détour d’un couloir, mais aux alentour de seize heures trente. Elle était radieuse, vêtue simplement pourtant. Une combinaison noire aux motifs de légendes ancestrale surmontée d’un veste blanche marquée d’un seau rouge qui représentait le désert. Le bas du vêtement dévoré par des flemmes factices. Il l’avait trouvée radieuse, pas pour sa tenue (bien qu’il n’aurai pus nier le fait qu’elle n’en était que plus imposante) mais pour son sourire. Un sourire heureux et tellement sincère qu’il en avait été retourné. Il illuminait son visage encore un peu rond de l’enfance, mais doux et plein de bonté. Mais rien dans cette pureté ne pouvait égaler l’effet que produisait ces lèvres charnues et roses sur lui. Et il y avait son nez, court , droit mais absolument adorable. Quelque chose de fascinant sur ce visage qui ne possédait pourtant pas grand-chose d’exceptionnel quand on en faisait la somme. Pourtant il vous aurait affirmé comme tous les autres qu’elle était belle. Il ne s’agissait pas d’un quelconque charme, elle était vraiment belle et ça il en était sur bien que parfaitement incapable de dire pourquoi.

La troisième fois qu’il l’avait aperçue, ce n’était pas au détour d’un couloir, ni aux alentours de seize heures trente, mais plutôt à la sortie de l’Académie. Elle n’avait pas d’enfant, mais elle avait rendue visite à quelqu’un. Il l’avait vue de loin. Toujours vêtue comme un guerrier et pas comme une femme. Sa silhouette était pulpeuse. Elle n’était pas de ces femmes maigres, mais de celles qui ont quelques formes à montrer et aux qu’elles ça vas divinement bien. Elle dégageait encore cette douceur et cette confiance en elle. Quelque chose de gracieux dans sa démarche. Une démarche assurée dont l’harmonie était rompue par le ballet incessant de ses long cheveux blanc dans son dos. Pas franchement grande bien au contraire, elle ne devait pas dépasser le mètre soixante et ça la rendait juste encore plus attachante. Sa poitrine n’était pas franchement opulente, tout juste acceptable pour une jeune femme de vingt trois ans et pourtant ça en ajoutait encore a ce qu’elle dégageait. Un ange.

La quatrième fois qu’il l’avait vue, ce n’était pas au détour d’un couloir, ni même aux alentours des seize heures trente. Ce n’était pas non plus à la sortie de l’Académie. C’était dans le désert et il ventait. Elle était la debout et elle riait au éclats, un rire communicateur. Comme pour une fois elle avait revêtu un Kimono de femme, dont la soie découvrait les épaules il pus voir que la guerre : elle l’avait fait pour de vrais. Sa peau laiteuse était parcourue de cicatrices et pourtant… elle avait attaché ses longs cheveux et le vent soulevait le voile de ses vêtement. Pour une fois il la vit femme, il la vit reine. Elle arrêta de rire. Elle se retourna. Elle était douce, c’est vrais. Et c’était le plus important.



« Histoire »


> Livre premier : chronique des plaines du soleil <

Contre temps à dix heures et trente-six minutes. 443647Heiyanokuni

Au commencement, c'était la plaine.

Le vent soufflait. C'est à peu près tout ce dont l'homme était sur. Il l'entendait hurler depuis l'intérieur de la maison. Et plus il l'entendait au plus il avait l'impression que le temps ralentissait. Ce n'était pas la première fois qu'il avait cette sensation. Mais il avait l'impression qu'elle était décuplée cette fois ci. Il y avait , il ne savait pas, comme une interférence dans le cercle spatio-temporel ou n'importe quoi d'autre, il s'en contre fichait. Mais il était perturbé. Le regard bleu profond de l'enfant qui venait d'entrer dans la pièce n'arrangea pas la situation. Elle était calme. Parfaitement calme. Du haut de ses six ans, elle ne pouvais probablement pas comprendre ce que qu'il se produisait. Qu'importe. Qu'importe. Elle était entrée dans l'espace clos du salon en faisant coulisser silencieusement le shoji et n'avait absolument pas interrompu l'harmonie du lieux. Elle y était entré c'était à peu prés tout ce qui comptait. De son petit pas légers elle était allée s’asseoir sous le Kotatsu et avait attrapé le chat au passage. L'homme fronça les sourcils. Elle ne semblait même pas s'être rendue compte qu'elle n'était pas seule. Le tic-tac de l'horloge le rappela à l'ordre, foutaise : comme si il n'avait rien d'autre à foutre, que de se préoccuper de choses aussi insignifiante que ça.. Il fallait croire. L'horloge affichait dix heure et trente six minutes. Pas une seconde de plus.

La fillette posa l'animal sur ses genoux et comme elle devait se sentir fixée , tourna légèrement la tête. Ses jolies mirettes s'agrandirent sous la surprise. Enfin, elle l'avait remarqué. L'adulte plongea dans les yeux de la petite qui , bien que peu farouche ne détourna pas le regard. Il faisait beau. Frais mais beau. Il pouvait le voir à travers la fenêtre. Il se re-concentra sur l'enfant, mais elle avait déjà trouvé une autre occupation. Délaissant le chat qui n'avait visiblement pas la moindre envie de jouer avec elle, la petite fille s'était munie d'un crayon, s'était orientée vers la fenêtre et avant entrepris de dessiner ce qu'elle voyait. Comme sa mère. Sa mère dessinait beaucoup. Mais avec plus de réalité. Bien que l'intention fut, la main ne suivait pas, les traits n'avaient rien de concret et l'esquisse enfantine avait de quoi faire sourire. Mais comme elle peignait avec des couleurs chatoyante et proche de la vérité, on s’intéressait immédiatement à ce qu'elle tentait de retranscrire. « le bonheur » elle aurait dit. Et c'était vrais. Bien plus que vrais. Même si l'homme ne pouvais pas savoir, ni inspecter ce qu'il se passait à l'intérieur du crâne de la fillette. Sa mère, Sayaka était un sage-femme implacable, douée et doté de notion pratiques peu banale. Elle avait été ninja médecin par le passé et n'avait rien perdu de sa superbe. Aussi étrange que cela puisse paraître, Munefusa avait déjà à six ans largement compris ce qu'un « accouchement difficile » pouvait bien signifier. Mais c'était un jour heureux. Alors elle dessinait. Comme tous les autres jour ou elle était heureuse.

Elle se leva et courus rapidement d'un bout à l'autre du salon pour récupérer le crayons qu'elle avait fait tombé. Il roulait. Roulait. Elle le saisit dans sa petite main. Se figea. Une femme entra à son tour dans la pièce. Le visage de l'enfant s'illumina alors qu'elle lâchait son crayon.
- Maman ! opinant du chef, elle attrapa la petite et la souleva, la collant contre son corps. Son sourire était immense. Elle le félicita et relâcha son enfant, laquelle sans cérémonie détalla, se saisissant de la feuille toute barbouillée de couleurs vives, elle le plaça d'office dans les mains de l'homme et disparu avec sa mère dans les couloirs de la maison. L'horloge du mur exposé plein sud affichait dix heures et quarante minutes. Il faisait toujours aussi beau, le vent qui soufflait encore et toujours plus fort avait chassé aux loin les rares nuages qui s'étaient aventurés sur le pays. Il sentait le soleil inonder son visage de chaleur au travers des carreaux de la fenêtre exposée Est. Sa femme venait de lui donner un fils, mais lui, lui : il pensait encore à petite fille de dix heures et trente six minutes.

II_

Elle n'avait pas attaché ses longs cheveux blanc, mais personne ne demanda pourquoi. Personne ne posait jamais de question sur les étranges habitudes de Munefusa Saiizou. En fait, elle ne parlais généralement pas beaucoup d'elle et préférait ramener tout aux autres. Maya regarda l'heure. Dix heures et trente six minutes. L’entraînement battait son plein et elle n'y participait pas. Elle avait été blessée, une belle entorse alors elle regardait ses deux équipiers se battre contre leur professeur. Si Munefusa ne parlait pas beaucoup d'elle-même, par politesse, les autres -les adultes surtout- bavassait a ce sujet. Elle n'avait que dix ans et elle s’entraînait avec une équipe de genin âgée de douze ans. Elle était douée, il ne fallait pas avoir peur des mots. Mais si on parlait c'était surtout de prénom. Munefusa. Un nom d'homme. L'explication que son père avait donné c'était qu'il s'était toujours attendu à ce que son premier enfant soit un fils. Ça n'avait pas été le cas et comme il avait dans l'espoir que sa fille soit au moins aussi forte que l'enfant qu'il avait espéré il lui avait donné un nom masculin. Un nom qui, selon sa femme, imposait le respect et indiquait la sagesse. Et c'était vrais, Munefusa Saiizou portait son prénom comme s'il avait été inventé pour elle. Concernant sa famille la seule chose qui ressortait, c'était qu'ils étaient heureux. Une famille de la classe moyenne qui , s'ils ne vivaient pas dans l'opulence, ne manquait de rien. Saiizou senior était un bon ninja et même si le petit coin tranquille qu'était Heiya no Kuni, ne possédait pas de renommée dans le monde shinobi tout le monde s'accordait à dire qu'il était un homme brave et puissant. Sa mère un médecin s'était tourné en exclusivité vers les accouchements et n'avaient eu qu'un seul autre enfant après l'arrivée de Munefusa. Une seconde fille, Mana qui fêtait son second mois et n'avait si l'on en croyait les parents rien hérité de sa mère.

La famille Saiizou n'avait rien à envier au reste des villageois, par ce que que leur bonheur faisait tellement chaud au cœur qu'on arrivait pas vraiment à le leur reprocher, et à vrais dire : personne n'avait essayé. A quoi bon. Ils n'étaient pas la famille parfaite mais baignaient dans un bien être sur. Leur fille unique présentait à l'âge de seulement dix ans les prérequis nécessaires à faire d'elle un guerrier hors normes. Le vent balayait de son haleine chaude les brins d'herbes du terrain. Heiya no Kuni était d'une influence mineure et ses terres étaient prospères, quoi que trop éloignée du reste des forces militaires pour intéresser les pillards. À cent cinquante kilomètre au nord de la se trouvaient les frontières de Tsushi no kuni. L'endroit était bien irrigué et relativement bien protégé dissimulé dans les entre monts. Le clocher du village affichait dix heure et quarante minutes. Le garçon, le plus âgé du groupe, tomba au sol. Munefusa baissa sa jambe gauche avec laquelle elle avait asséné un coup de pied retourné d'une force exemplaire à son coéquipier et adversaire momentané. Déjà. Le combat avait débuté à dix heures trente six. Maya n'avait oublié.

III_

Dix heures et quarante minutes.
« c'est trop long. » ce fut la seule chose que la jeune femme parvint à penser sans céder à la panique. Elle était franchement persuadée que si elle cherchait à expliquer la raison de ce temps perdu elle perdrait son sang froid. La seconde partie de l'examen qui désignerait les futurs Chuunin avait commencé deux jours plus tôt et l'équipe numéro un de Heiysa no Kuni n'avait rien eu à déplorer, jusque' à ce matin là. Sans vraiment être capable d'expliquer comment elle avait été capable de le repérer, Saiizou avait expliqué à ses camarades qu'ils étaient suivit depuis quelques deux heures au moins. Au début, elle avait essayé de ne pas y faire attention, se persuadant que c'était de la paranoïa et que c'était le but de cette épreuve, mais avec le temps elle n'avait pas pus s’ôter cette idée de la tête. C'est ainsi qu'à dix heures et trente six minutes tout avait basculé. Shô, le seul membre masculin de leur équipe avait décidé de partir en exploration aux alentours. Maya avait trouvé l'idée chouette, et armée de son clame habituel Munefusa avait tenter d'expliquer que ce n'était pas une bonne idée. forcément ils auraient dus la prendre en considération, pour le bien fondé de ses observations, mais comme elle était la plus jeune on avait fait fi de ses conseils. On le faisait trop souvent à son goût. Bien sur, elle ne s'était pas attendu à ce qu'on la prenne immédiatement au sérieux mais cela faisait déjà trois ans qu'elle exerçait brillamment -qui plus est- au sein de cette équipe. Elle aurais pensé que se serai suffisant pour faire ses preuves.

Elle avait fêté son treizième anniversaire au mois de juillet précédent, soit depuis déjà plus de trois mois. Maya et Shô avaient déjà quinze ans. Ça n'aidait pas aux bonnes relations mais elle n'en faisait pas un cas personnel. Elle n'arrivait pas bien à se mettre à leur place, mais elle imaginait fort bien ce qu'elle même aurait pus ressentir si elle avait été surpassée par un enfant de presque trois ans son cadet. La colère, la jalousie. Elle pardonnait facilement ce genre de chose, surtout qu'elle pensait et pas sans raison que c'était plus que justifié. Parfaitement humain comme réaction.

En tout cas, Shô avait disparu depuis bien trop longtemps à son goût et toujours dans la même optique elle trouvait l'endroit bien trop silencieux. Maya et elle avaient arrêté de marcher. Elle ne savait pas bien pourquoi, mais en entrant dans cette foret Munefusa avait décidé qu'elle deviendrait Chunin a la suite de cet examen. Elle ne le repasserait pas. Hélas, la situation n'allait pas pour l'arranger. Elle porta sa main à sa bouche et rongea l'ongle de son pouce droit. L'agacement prenait le pied sur la crainte. Un cris. Les fourrés tout autour se mirent à bouger. Shô fut jeté à leurs pieds et ceux qui se dressèrent en muraille de chine face aux jeunes filles n'avaient pas ni la carrure, ni le regard d'enfant parfaitement normaux et épanouis. Son sourire se fit plus doux que jamais. Il était dix heures et quarante minutes, l'équipe un subissait leur inattention de dix heures et trente six minutes. Munefusa Saiizou s’apprêtait à mettre en œuvre ce qu'elle avait appris du Shoton ces quatre dernières années.

IV_

-Si tu dois te battre, fait le sur le champ de bataille. Pas dans les rues. Je doute sincèrement que ça soit ce qu’on t’as appris à l’école. ses grand yeux bleus s’étaient posé avec douceur sur les deux jeunes garçons qui se battaient devant l’entrée du bar. Elle avait retenu in extremis le point du plus costaud de s’abattre sur le visage de son demi-adversaire. Elle avait dix neuf ans. Soit presque sept ans de plus que les deux malotrus qu’elle avait séparé. C’était étrange. À leur âge, elle n’aurai jamais pensé à violenter qui que se soit d’autre. Même actuellement alors qu’elle était Junin depuis plus de quatre ans, elle ne le faisait qu’avec regret. En principe elle préférer ouvrir le dialogue avant. Ça ne lui avait jamais franchement posé préjudice, mais elle se doutait bien que parfois ce n’était pas nécessaire. Il y avait des cas ou il ne fallait pas qu’elle essaie.

De manière générale elle faisait bien la part des choses, et savait comment et quand agir. On ne pouvais pas douté du bien fondé de ses action surtout quand toutes les missions avaient porté leurs fruits. Elle était douée c’était un fait avéré. Elle tenait toujours dans sa main le point séré de l’enfant. Il grogna et jura vulgairement.
-Qu’est-ce que tu viens faire chier à dix heures et demi. Grognasse. elle ne releva pas son écart de langage mais lui offris un sourire chaleureux.
- En fait, il est dix heures trente six elle indiquât comme si c’était le fait le plus important du monde. Et c’était peu être le cas en fait. Certes ça ne l’aurai pas été si un narrateur dopé n’avait pas eu l’idée saugrenue de ne raconter que les évènement de sa vie qui avaient lieu précisément à cette heure ci. Certes, ça ne l’aurait pas été si ce même narrateur avait eu la présence d’esprit d’élargir son champ de vision et si elle n’avait pas été Munefusa Saiizou soumise à toutes ses lois inéluctable en vertu de son statu de personnage de papier sur une feuille word. Je vais finit par croire au destin. (comment ça sous prétexte que j’ai été silencieux jusque là je n’ai pas le droit de faire irruption dans cette présentation ?)

Elle le lâchât et il détala comme un lapin laissant au pieds de son ainée le plus faible des deux. Elle le hissa sur ses pieds. Il s’appelait Sora et il accepta les étoiles dans les yeux qu’elle lui apprenne à se défendre. Il était dix heures et quarante minutes, mais Sora lui : pensait encore à son miracle de dix heures et trente six minutes. Pas une de plus.

TRANSITION
L E V O Y A G E
Contre temps à dix heures et trente-six minutes. 445030levoyage

Par ce que se serai la seule partie qui se rai dite sans voile. Et que ma voix porte jusqu’au tréfonds pour que sachiez enfin ce qui à été dit. Pensé.

Elle avait dix neuf ans Munefusa. Dix neuf ans de succès et de joie, de missions criminelles et pas toujours honnête, dix neuf ans à brasser du vent pour des moulins sourd qui ne voyaient que l’utopie. Elle aimait l’utopie mais sans but , se sentait perdue, comme un bateau à l’approche des côtes qui ne verrait pas la lumière tant espérée du phare. C’était à dix heures trente six du matin ce lundi là, qu’elle avait commencé à y réfléchir et quatre minutes après, elle avait pris sa décision. Elle avait gâché presque vingt ans de sa vie à ne rien faire de constructif. C’était bien trop. Elle avait plié bagage. Prévenu les haut gradés, posté sa démission et obtenu sa bénédiction. Salué sa famille et sellé un cheval. Par ce que c’était ainsi qu’elle était partie, à cheval vers les grandes nations Shinobi qui lui offriraient plus qu’un nouveau monde, un but et une nouvelle vie. Une chance de progresser et de rencontrer des gens au passé chargé. Elle avait entrepris son voyage seule et sans destination précise. Il lui avait fallut un mois complet de cheminement pour poser son pieds sur le sol aride du désert de Suna ce n’est pas dressée aussi fièrement sur son destrier qu’elle s’était présentée à l’entrée du village caché. Ceci dit, ses yeux bleus n’avaient probablement jamais été aussi expressifs. C’était la première fois de sa vie qu’elle voyait le désert et le sable. Elle s’était crevé les yeux dans cette immensité rougeoyante. C’était un dimanche d’été particulièrement brulant pour le village caché du sable et il était exactement dix heures et trente six minutes lorsque l’inconnue flanquée de son canasson épuisé était apparue devant la porte d’entrée.

>LIVRE SECOND : Le chemin par delà le sable <
Contre temps à dix heures et trente-six minutes. 345120sunaarrive

I-

Bureau des services de renseignement.
10h36
Le silence était lourd. Enfin presque. Ses yeux bleus fixés ostentatoirement sur les aiguilles de l’horloge dont la course infinie semblait ne jamais pouvoir s’interrompre. Ses ongles longs frappaient en rythme sur la table de bois. Elle souriait. Toujours posée, mais elle devait bien s’avouer en son fort intérieur qu’elle était relativement impressionnée. Pas autant que la femme qui l’avait vus surgir, déshydratée et affamée sur le dos d’un cheval maigre comme jamais vu, cependant. Le silence était présent mais comme les deux vis-à-vis souriaient visiblement de manière parfaitement sincère, personne n’aurai pus songer qu’elles étaient étrangères l’une à l’autre. « je vous écoute » c’était tout ce que l’autre femme, une charmante rousse avait trouvé à dire. Munefusa Saiizou chercha dans les tréfonds de sa mémoire ce qui était digne d’être raconté ici. Car c’était sa vie qu’on lui demandait de compter. Le pourquoi du comment en somme.

<_ Je suis née dans un village sans nom du fond d’un pays qui n’apparaît que vaguement sur vos cartes. Heiya no Kuni avait toujours été prospère. Ce n’est pas un secret que sa construction se fit avant tout du désir d’un groupe de déserteur de trouver un refuge ou tout recommencer à zero. Fondé par cinq Shinobi originaires respectivement des cinq grandes nations ninja. Suna, Konoha, Iwa et Kiri. Les nôtres avaient vécu la première guerre shinobi et s’était à l’issue de celle-ci qu’ils avaient fui pour créer un monde qu’ils espéraient plein d’harmonie. Ils réussirent puisque c’est dans ce contexte de paix absolue que je suis née il y as dix neuf ans. Je m’appelle Munefusa Saiizou et je suis la descendante d’un clan qui dans mon pays à disparu depuis plus de cinquante ans. Tsubaki était leur nom.

Je suis venue au monde comme tous les autres enfants. Notre famille n'était pas la plus riche et la plus estimée de toutes, mais nous n'étions loin d'être les plus pauvres. Si nous ne vivions pas dans l'opulence, nous n'avons jamais manqué de quoique se soit. J’étais peu être même une petite fille trop gâtée par des parents qui l'aimaient d'une façon inconditionnelle. Il n'est sans doutes pas intéressant que je m'attarde sur la vie sans histoire d'une petite fille de un an. J’ai grandi dans un bien être sur et une joie pratiquement inébranlable. Je n’ai jamais connu ni la guerre, ni les massacres ou une quelconque pression politique particulière. Je suis devenue Shinobi pour honorer mon père à la place du fils qu’il n’aurai jamais et dont je portais le nom. J’ai développé le Shoton à un âge tout a fait acceptable: j’avais neuf ans si mes souvenirs son exacts. C’est une force que j’ai poussé à son paroxysme.

Plus tard, je me suis aiguillée vers la médecine, surtout offensive. La perte d’homme en mission m’as fait reconsidérer cette position. J’ai travaillé l’Esei nin pour ne plus avoir l’impression d’être parfaitement impuissante face à la douleur des autres. Maintenant, je peu au moins faire tout ce qui est en mon possible pour soigner. Cela peu paraître étrange, mais comme j’ai vécu à l’abris de tout la prise de conscience s’est faite tard. Avoir des capacités était quelque chose de non négligeable mais de la d’où je viens elle ne profitaient à personne. Il y à un mois, j’ai pris la décision de partir. Je suis tombée amoureuse du désert, et dans l’autarcie de ce village que les dunes coupent du monde j’ai reconnu une part de ma patrie. Je suis venue en civile et je regarde ces rues. J’ai appris l’histoire de l’endroit en voyageant a travers Iwa et le désert lui-même. Est-ce un tors que d’espérer vivre ici quelque chose de nouveau ? Ai-je raison de croire qu’ici je trouverai peu être enfin un but ?

Aussi saugrenu que cela puisse être, je souhaite apporter ma contribution. De sable ? Je n’en avait jamais vu…
>

La rousse hocha positivement la tête. Elle avait écouté avec attention l’histoire de cette jeune femme. Elle s’était présenté tout sourire et parfaitement enchantée d’être là. Le fait qu’elle ai traversé le désert seule sans escorte et sans préparation préalable était une preuve de la puissance qu’elle pouvait posséder. Elle ne fermait pas son esprit et n’avait pas cherché à attirer l’attention sur elle-même. Son histoire, simple relatait une histoire charmante et tout a fait touchante et en fouillant dans sa tête à l’aide d’un genjutsu, elle avait trouvé la confirmation exacte de tout ce qu’avait pus lui raconter Munefusa Saiizou. Une femme douce, ouverte et courageuse. Une escarmouche violente avait récemment décimé la IV ème armée de l’ouest et la situation politique du moment demandait qu’elle soit rapidement regarnie de combattants. Cette femme disait la vérité. Elle n’aurais plus qu’à faire ses preuves sur le terrain en temps et en heure. C’était elle qui voulait apporter sa contribution après tout.

« -Vous verrez cela avec le capitaine, mais la IV eme armée de l’ouest sera ravie de vous compter dans ses rangs. » Elle se levèrent et Saiizou quitta la pièce. La rousse, sourire ravi aux lèvres fixait encore la porte par laquelle le nouvelle élément était entré avec grâce à dix heures trente six.

II-
Forcément. Dans ce genre de circonstances le risque de mort augmentait de façon exponentielle. Surtout quant on était pas du coin. Elle regarda sa montre dix heures trente six. Elle se demanda ce que ça lui apportait de le savoir. Crever à la guerre en sachant l’heure qu’il est. En effet, c’était glorieux. Vraiment. L’attaque menée sur la tour du Kazekage l’avait embarqué dans une mission pour le moins inédite. On ne lui avait jamais appris que faire dans ce genre de cas quand elle était à l’école. Ce qui se déroulait sous ses yeux était purement inédit. Quand elle était arrivée à Suna elle ne se rappelait pas avoir signer une close « chair à canon ». Néanmois, malgré le peu de temps qu’elle avait pus passer aux cotés des membres de la IV ème armée de l’Ouest , la jeune femme s’était solidement prise d’affection tant pour eux que pour les villageois. Pour le peuple valeureux du désert assassin.

Il y avait le gouvernement actuel et il y avait Shunsui. Minomura Shinsui et ses rêves, ses rêves d’un pays meilleur et en paix. Un monde qu’elle voulait voir naître. Elle n’avait pas bronché, pas émit la moindre position à ce qui allait se dérouler et au moment de la séparation de l’armée en deux faction, elle avait simplement dit :
-Je serais la jusqu’à la fin. bien sur, ça aurai pus paraître anodin ou bien complètement relatif comme affirmation, mais dans la bouche pure de tout mensonge et de toute fourberie, de Munefusa Saiizou ça signifiait simplement qu’elle était prête à tout. Elle ne fuirait pas. Elle ne flancherai pas et elle serai le dernier des piliers Suna-jin s’il le fallait. Le pion empoisonné. La brebis sacrifiée pour la victoire. Qu’importe : elle serai la jusqu’au bout. Elle tomberai en dernier et seulement après avoir eu l’extrême certitude que la victoire était assurée. Pas une seule seconde avant.

Mais la pleine était un bain de sang une effusion terrible qui la laissait parfaitement béate. Il lui fallut peu de temps pour retrouver son essence : Observer, Analyser, Gérer. Elle ne compta pas le nombre de lames qui transpercèrent ses chairs ce jour la. Elle ne compta pas le nombre de larme qu’elle versa. Elle ne compta pas le nombre de mort qu’elle fit ni même le nombre de ceux qu’elle ne pus pas sauver. Mais son escouade atteins son but et elle, elle faisait partie de ceux qui tenaient encore debout. Apte au combat. Et se fut elle qui dressa à l’entrée du palais, sacré siège de leur saint enfer, le mur offensif qui retiendrait les partisans du Shishidaime. Ce fut elle qui s’écroula, Ivre de douleur, l’esprit rongé par la folie, le corps en sang, les chair à vif. Elle qu’on transporta en urgence à l’hôpital ce jour là qu’as dix heures et quarante minutes on criait dans Suna à la victoire de Shinsui Minomura. Se fut elle qu’on réanimât trois fois. Elle qui s’accrochait encore à ce moment, à dix heures et trente six minutes la veille, ou elle avait crus voir sa mort arriver.


III-

-C’est anormal ! Injuste ! et c’est vrais que dans un sens ça l’était. Quand elle regardait objectivement la situation, Munefusa se sentait peu être un peu coupable. Elle n’était que depuis un an et ce qu’on lui accordait revenait à dire qu’elle avait déjà plus d’influence que quelqu’un qui serai né dans ces terres et ici bas. C’était cette sensation atroce qu’expérimentait Matsumoto Sarutobi trente cinq ans et Junin de Suna depuis plus de dix ans. Pourtant, ce n’était à lui qu’on avait offert la promotion d’Anbu. Non ce n’était pas à lui mais à Saiizou Munefusa et ça, ça lui restait en travers de la gorge. Chose que la toute jeune femme pouvais parfaitement entendre.
-C’est vrais que cela peu paraître injuste et je suis tout à fait prête a entendre que vous soyez profondément blessés. Mais j’ai fait mes preuves. C’est quelque chose que je peu endosser. Je tiens toujours mes promesse. Je serais là jusqu’à la fin.
Ce n’était peu être pas grand-chose mais c’était déjà plus que suffisant. Nommée au poste d’Anbu par le nouveau régime mis en place. Comme elle s’ était montrée plus que courageuse et douée pendant le coup d’état, et qu’elle n’avait jamais faillis à son devoir depuis qu’elle était arrivée à Suna, comme elle avait soutenu férocement le nouveau parti, comme elle était restée malgré tout. L’Anbu lui ouvrait ses portes.

Sans véritable avantage dans le font ce poste lui offrait une nouvelle perspective. Un moyen tout nouveau d’apprendre. Elle se demandait dans le fond s’il était tout a fait naturel qu’elle ai si vite trouvé sa place dans ce nouveau monde. Par ce que oui, à cette échelle la c’était un monde tout entier qu’elle découvrait, qu’elle expérimentait. Elle sortis et regarda le village qui vivait plus que jamais en cette matinée particulièrement douce dans le désert. Il était dix heures et quarante minutes, pourtant, sourire aux lèvre Munefusa Saiizou ne pensait qu’au messager de dix heure et trente six minutes qui lui avait apporté la nouvelle de sa promotion au grade d’Anbu. Elle fit trois pas dans la rue. Elle avait eu vingt ans la veille. Cela faisait presque un an qu’elle avait posé le pied sur le territoire du village du sable. Une matin à dix heures et quarante minutes, qu’il faisait si chaud.

Elle se retrouna. Un rire s’empara de son corps. Elle était heureuse.
-All Hail Suna ! dit elle simplement. Ses yeux bleus pétillèrent. Il était dix heures quarante et une minutes et elle ne pensait plus qu’au futur.


« Equipement & Autres»

Elle est arrivée a Suna à dos de cheval, le bestiaux est d'ailleurs toujours opérationnel. en principe elle se déplace à pieds.
Elle possède un Daito à lame noire, elle le tiens de son père, mais son arme de prédilection est un Naginata forgé dans son pays.



« Et toi ?»

♣ Âge : Il change de manière générale tous les ans. (et de toute façon on demande pas son âge à une dâme : elle est toujours super jeune)
♣ D'où vous venez comme ça ? Du pays des Stroumphes.
♣ Et le règlement ? Vous l'avez lu ? Non, je suis trop coule pour ça.
♣Vous allez le respecter, bien sûr : je vais y réfléchir.
♣Votre niveau de rp : à déterminer.
♣ Autre chose ? Une tasse de thé peut être ? Non. les Ornithorynques ne boivent pas de thé nom d'une banane à bosse !




Dernière édition par Munefusa Saiizou le Mar 18 Sep - 18:31, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Contre temps à dix heures et trente-six minutes.   Contre temps à dix heures et trente-six minutes. EmptyMar 18 Sep - 17:49

Up <3 par ce que cette fiche est finie~
(je tien à dire au staff que je les aime...fayotte)
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Shunsui A. Minomura
Administrateur / Hachidaime Kazekage
Shunsui A. Minomura


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MessageSujet: Re: Contre temps à dix heures et trente-six minutes.   Contre temps à dix heures et trente-six minutes. EmptyMer 19 Sep - 14:32

Hello et bienvenue Very Happy [formule officielle]


Concernant les descriptions ^physiques et mentales, c'est super. Elles sont très bien détaillées, très précises, rien n'est laissé de côté. On arrive à cerner ton personnage, lequel nous apparaît sous un jour très... Différent des autres. Tu es un peu comme la rosée matinale sur des plantes Very Happy (comment ça mon image n'est pas claire ? èWé )
Pareil, j'aime beaucoup l'idée du narrateur mystérieux qui te décrit physiquement Smile

A propos de l'histoire... La perception temporelle de ton personnage est super bien rendue ^^ Tu as su manier cet outil difficile et totalement inédit, et le résultat est extra. Continue d'avoir des idées comme ça X)

Sinon, en point négatif, tu as fait quelques fautes de conjugaison et d'accord, mais elles se perdent dans la qualité de la fiche.


Mon avis est de t'accorder le rang demandé ^^ Le Maître de Jeu passera sous peu t'accorder ton XP


Welcome to Suna Smile
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MessageSujet: Re: Contre temps à dix heures et trente-six minutes.   Contre temps à dix heures et trente-six minutes. EmptyMer 19 Sep - 14:50

  • Voici la Sainte Parole du Staff : Munefusa Saiizou est validée en tant qu'ANBU de Suna, avec 33 points d'expérience de départ.


    Nous te souhaitons un bon jeu !
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MessageSujet: Re: Contre temps à dix heures et trente-six minutes.   Contre temps à dix heures et trente-six minutes. Empty

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